Votre trésorerie d’entreprise finance l’avenir au lieu de dormir

Introduction

Votre trésorerie d’entreprise finance l’avenir au lieu de dormir…

• Trop d’entreprises laissent leur trésorerie dormir.
• Pourtant, cet argent peut travailler.
• Pour l’avenir des dirigeants. Pour les salariés.
• Et pour valoriser l’entreprise.
• Encore faut-il éviter certaines erreurs.

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1. La trésorerie : ce que c’est vraiment

Trois types de trésorerie :

• Besoin de fonds de roulement : ça couvre les dépenses courantes comme les paiements aux fournisseurs, les salaires et les frais généraux. Ça varie selon le cycle d’exploitation et les délais de paiement.
• Réserve de trésorerie : c’est l’argent disponible pour les urgences à court terme, de 4 à 6 mois de charges. C’est différent du compte courant à cause des sorties exceptionnelles pour approvisionner ce dernier.
• Excédent de trésorerie : ce sont les fonds disponibles au-delà de 4 à 6 mois de charges, pas nécessaires pour les besoins moyens et longs termes.

• C’est aussi ce qu’il reste après avoir payé les charges
• Et qui dort, souvent, sur un compte courant ou sur un CAT rémunéré à… 0,25 % (au mieux).
• Frustrant ? Oui.
• Surtout quand on sait ce qu’on peut en faire.

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2. Pourquoi ne rien faire est une erreur

• L’inflation grignote votre trésorerie.
• Ne pas la placer, c’est perdre de l’argent.
• Chaque mois, chaque année.
• Et plus vous attendez, plus vous perdez.
• Et pourtant, beaucoup ne font rien.
• Pourquoi ?
  • Peur de bloquer l’argent.
  • Pas de conseil adapté.
  • Priorité à l’opérationnel.
• Ne pas avoir des trésorerie d’avance et ne pas la valoriser : Mauvais calcul.

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3. Ce que votre trésorerie peut faire pour vous

Les dirigeants :

• Préparer votre avenir.
• Financer une retraite complémentaire.
• Vous constituer un capital à transmettre.
• Valoriser votre entreprise
• Financer des projets
• Vous protéger en cas de coup dur.

Les salariés :

• Mettre en place l’épargne salariale, un PER collectif, les accords d’intéressement, de participation.
• Fidéliser les talents.
• Offrir des avantages concrets.
• Créer une culture d’entreprise plus forte.

L’entreprise :

• Valoriser votre structure.
• Améliorer sa solidité financière.
• Rassurer les partenaires bancaires et investisseurs.
• Préparer une cession future, dans les meilleures conditions.

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4. Erreur n°1 : tout laisser sur le compte courant

J’entends régulièrement les deux objections :

• « En achetant et revendant des produits, je gagne immédiatement +20%. Avec vos rendements, ce sera inférieur.

C’est vrai. Vous parlez de revenu actif (achat, revente), qui est l’activité principale. Ici, il s’agit de revenu passif, en complément de ce que l’entreprise a gagné grâce à ses activités. »

• « Je préfère garder de la visibilité.

Oui, sauf que :

→ Vous perdez 4 à 6 %/an à cause de l’inflation

→ Votre banque finance des projets que vous ne cautionnez peut-être pas (fossiles, armement…)»

Pourquoi c’est une erreur :

• L’argent ne rapporte rien.
• L’inflation l’érode.
• Et vous passez à côté d’opportunités.

La solution :

• Diversifier.
• Calculer la part potentielle de placement qui n’entrave pas le fonctionnement de l’entreprise.
• Choisir des placements adaptés à votre horizon de temps.
• Par exemple (Hors bancaires et les CAT):
  • Obligations.
  • Produits structurés simples.
  • Contrat de capitalisation
  • Fonds SCPI
  • Employer la méthode DCA
• Il existe des solutions qui laissent l’argent disponible à court/moyen/long terme, avec un rendement.

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5. Erreur n°2 : Ne pas penser de l’optimisation financier entre le patrimoine pro et perso

Pourquoi c’est une erreur :

• Payer trop d’impôts (IS, IR)
• Charges (patronales et salariales) trop élevées
• Mal anticiper la cession
• Sous-exploiter le potentiel de l’entreprise

La solution :

• Faire les choses dans les règles.
• Utiliser des outils dédiés :
  • Montage Holding et/ou SCI
  • Contrat de capitalisation en compte-titres pour l’entreprise.
  • PER pour les salariés et les dirigeants, alimenté via une stratégie de rémunération optimisée.
  • L’épargne salariale avec les accords d’intéressement et de participation.
  • Transmission avec fiscalité allégée
• Vous voulez sécuriser votre avenir perso ? Faites-le proprement, avec les bons outils.

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Votre trésorerie d’entreprise finance l’avenir au lieu de dormir…

6. Erreur n°3 : vouloir tout gérer seul, ou suivre votre banque et/ou expert-comptable

Pourquoi c’est une erreur :

• Vous êtes chef d’entreprise, pas gestionnaire de fonds.
• Les règles évoluent.
• Les produits aussi.
• Et le temps vous manque.
• Votre expert-comptable est précieux. Mais pas spécialisé en investissement ou en stratégie patrimoniale.
• Et votre banque ? Elle vend ses produits, pas votre vision. (Solutions peu performantes, des frais invisibles, pas d’architecture ouverte)

La solution :

• Bien s’entourer.
• Choisir un partenaire de confiance.
• Quelqu’un qui comprend votre entreprise.
• Et vos objectifs personnels aussi.
• Un conseiller en gestion de patrimoine habitué aux chefs d’entreprise.
• Pas un banquier qui change tous les 6 mois.
• Analyse indépendante
• Allocation avec impact et en bon père de famille
• Processus de sélection rigoureux avec une vaste gamme de produits disponibles sur le marché.
• Suivi à 100% en abonnement de suivi.

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7. Trésorerie et valorisation de l’entreprise

• Une entreprise bien gérée est une entreprise valorisée.
• Un investisseur ou acheteur regarde :
  • Le bilan
  • Le compte des résultats
  • Le chiffre d’affaires.
  • La rentabilité.
  • Mais aussi : la gestion des excédents.
• Si vous avez su placer intelligemment, vous rassurez.
• Vous montrez que vous anticipez.
• Que vous pensez long terme.
• Et ça, ça se valorise.

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9. Vous pouvez aussi faire plaisir à vos salariés

• Avec la participation.
• L’intéressement.
• Les plans d’épargne entreprise (PEE).
• Les PER collectifs.
• Les PER obligatoire.

Pourquoi c’est malin ?

• Parce que c’est motivant pour eux.
• Parce que c’est fiscalement avantageux pour vous et pour vos salariés.
• Et parce que c’est une vraie preuve de considération.
• À l’heure où le recrutement est difficile, c’est un levier fort.
• Cela rassure l’investisseur sur l’engagement social de l’entreprise et du dirigeant.

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11. Et concrètement, on commence par quoi ?

Voici un plan simple :

1. Faire un état des lieux de la trésorerie.
   • Combien ?
   • Quelle partie est stable ?
   • Quelle partie est nécessaire au quotidien ?
2. Clarifier les objectifs.
   • Préparer la retraite ?
   • Créer un matelas de sécurité ?
   • Valoriser l’entreprise avant une cession ?
   • Motiver les salariés ?
3. Mettre en place une stratégie.
   • À court, moyen, long terme.
   • Avec des produits adaptés.
   • Et un suivi régulier.
4. Se faire accompagner.
   • Pour optimiser fiscalement.
   • Pour bien gérer votre trésorerie.
   • Pour valoriser votre outil de travail
   • Pour sécuriser juridiquement.
   • Pour ne rien oublier.

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Conclusion

Votre trésorerie d’entreprise finance l’avenir au lieu de dormir…

Votre trésorerie n’est pas juste un chiffre sur un compte.
C’est un outil.
Un levier puissant.
À condition de l’utiliser.

Laisser l’argent dormir, c’est un luxe que vous ne pouvez plus vous permettre.
Le faire travailler, c’est penser à l’avenir.
Le vôtre. Celui de vos proches. De vos salariés.
Et de votre entreprise.

Alors, on en parle ?

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